Historique

HISTORIQUE

La résidence « Laurence de la Pierre » a fêté ses 700 ans en 2009.

Cette fondation remonte à 1309 et fut l’œuvre de Philippe Turgot, seigneur de la BIONNIERE, et de sa femme Laurence de la Pierre qu’il avait épousé à Condé. La vocation initiale de cet établissement était de recevoir les vagabonds, les vieillards, les infirmes, les  incurables et les indigents ainsi que les militaires blessés ou malades.

Ce premier Hôtel Dieu changea 3 fois de place. En 1750 son implantation se fera définitivement dans le quartier Saint Martin où il se trouve toujours. A l’époque ce sont des religieuses hospitalières qui donnaient leurs soins aux pauvres et aux infirmes.

Puis un siècle plus tard, le 6 juin 1873, la première pierre de l’Hospice est posée.

Situé entre la route de Tinchebray et la rue du Moulin, c’est le pavillon Saint Martin. De cette époque date un pavillon carré qui permettait aux gens SDF de se reposer pour la nuit avant de poursuivre leur chemin.

 En 1933, la construction du pavillon des contagieux est réalisée, il s’appelle « La Providence ».

En 1968, c’est l’année de la réforme des hôpitaux et des hospices. Ce sera la rupture totale avec le passé. On prendra en compte le confort matériel et moral des pensionnaires. C’est aussi la fin de l’époque où la gestion de l’hospice était confiée au secrétaire de mairie. L’établissement n’est plus religieux il devient laïque et communal.

Les travaux de modernisation se poursuivent et le 27 septembre 1975, la nouvelle maison de retraite comprenant 60 lits sur 3 niveaux est inaugurée.

En 1982, c’est l’ouverture du « Centre BAZIN » avec 80 lits.

En 2005, celle-ci est rénovée et baptisée « pavillon Adélie ».

 En septembre 2006 le contrat de progrès est voté par le conseil d’administration. Cela commence par l’agrandissement de la résidence sur la place de la gare, avec la création d’une extension sur le Centre du Docteur BAZIN.

Depuis 2013, l’établissement dispose de 40 nouvelles chambres individuelles avec sanitaires et douche, dont 14 chambres réservées aux résidents atteints de la maladie d’Alzheimer ou maladie apparentée, situées au rez-de-chaussée, dans un lieu de vie sécurisé.